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omar sy - Page 2

  • Intouchables

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    Notre pote Driss (Omar Sy) s’était présenté à l’entretien avec comme seul objectif d’obtenir une signature de refus pour toucher ainsi ses allocations mais sans le savoir il a tapé dans l’œil de Philippe (François Cluzet). Ce dernier est paraplégique et cherche quelqu’un pour l’accompagner au quotidien et il est curieusement intrigué par ce jeune homme qu’il décide de prendre à l’essai pour 2 mois. Alors que tout les oppose, leur entente est presque instantanée ; Driss apporte avec lui une spontanéité qui fait un bien fou à Philippe qui ne supportait plus qu’on voit en lui l’handicapé plutôt que l’homme. C’est la naissance d’une grande amitié qui se dévoile devant nous !

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    Si vous ne l’avez pas encore vu alors courez-y car c’est le succès et aussi le Coup de cœur Ciné2909 du moment ! Le duo Toledano / Nakache nous avait déjà fait beaucoup marré avec Nos jours heureux et Tellement proches et ils récidivent avec Intouchables en mêlant le rire avec une belle dose d’émotions. On ne peut évidemment pas passer à coté de la présence d’Omar Sy rayonnant accompagné d’un tout aussi formidable François Cluzet, une complémentarité qui ne sautait pas aux yeux mais qui s’impose très vite. Si ne veut faire la fine bouche, on pourra toujours reprocher les clichés inhérents aux jeunes de cité plongés dans les embrouilles et la famille aisée coincée mais c’est oublier que cela s’inspire de la véritable histoire de Philippe Pozzo di Borgo.

     

    Il faut le voir pour : Se mettre à la peinture, ça paie bien !

  • Le carton

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    Il est 9H17 quand Antoine (Vincent Desagnat) est réveillé par son téléphone. Au bout du fil, c’est son propriétaire qui l’informe que l’appartement qu’il lui loue devra être débarrassé à 13H sauf qu’Antoine s’est trompé de jour et pensait qu’il lui restait une journée pour déménager. Fissa, il contacte tous ses potes d’enfance afin qu’ils viennent lui donner un coup de main mais il est loin de s’imaginer la galère qui l’attend. Entre David (Fred Testot), comédien qui ne fait que répéter son rôle, Vincent (Bruno Salomone) prêt à sauter sur tout ce qui bouge malgré le fait qu’il ait une petite-amie et Lorenzo (Omar Sy) qui cherche à récupérer l’appartement pour faire des photos ; la journée s’annonce longue.

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    Adapté de la pièce de théâtre de Clément Michel, Le carton misait à l’époque sur la jeune génération de comédiens incarnée par Vincent Desagnat, Bruno Salomone ou encore le duo Omar & Fred. L’histoire est simple ; un déménagement organisé à la hâte et qui va évidemment tourner au désastre avec une succession de quiproquos pour essayer de nous faire marrer. De ce coté-là, c’est sur que ce n’est pas la comédie du siècle car il n’y a pas de gros fous rires à l’horizon mais c’est assez fun dans l’ensemble. L’alchimie entre les différents personnages fonctionne également plutôt bien faisant de cette petite comédie un bon moment de détente bien moins fatigant que d’aller porter des cartons !

  • La loi de Murphy

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    Tout le monde a fait des bêtises dans sa vie, Elias (Pio Marmaï) en a fait lui aussi mais l'a payé cher en passant quelques temps en prison. Aujourd'hui il est en conditionnel et bosse comme brancardier dans un hôpital mais les ennuis vont soudainement surgir. Il voit en effet débarquer aux urgences son pote d'enfance Rudy (Dominique Pinon) qu'il a connu en prison, victime d'un accident de la route. Un peu plus tôt, celui-ci avait dérobé des diamants aux frères Ortega et avait tenté de s'enfuir pour les refourguer. A quelques heures de la fin de sa conditionnelle, Elias a donc désormais un butin estimé à 10 millions d'euros sur les bras et 3 frères gitans passablement énervés à ses trousses ; la nuit risque d'être longue.

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    Premier film de Christophe Campos, un enfant de la télé qui a œuvré principalement sur Canal + ; La loi de Murphy est un joli fourre-tout où tout semble pouvoir arriver. Sous-titré La loi de l'emmerdement maximum, ça vous donne une idée sur les intentions du réalisateur bien décidé à nous offrir un véritable capharnaüm. Il y a de bonnes idées et le rythme soutenu du film fait qu'on passe plutôt un bon moment mais ce désordre permanent finit par nuire au film. Une comédie avec une belle brochette de comiques (Omar & Fred, Jonathan Lambert & Dominique Pinon + la présence d'Antonio "Huggy les bons tuyaux" Fargas) qui prend un malin plaisir à ne respecter aucunes règles, qui multiplie les références mais qui s'oublie aussi très vite.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais provoquer une fan de Chuck Norris

     

  • Micmacs à tire-larigot

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    Il y a exactement 30 ans, Bazil (Dany Boon) perdait son père terrassé par une mine anti-personnelle. Lui a eu plus de chances (enfin si on peut dire), il a été témoin d’un règlement de comptes et reçu une balle en pleine tête mais est toujours vivant. Malheureusement, son accident a eu d’autres répercussions puisqu’il se retrouve désormais à la rue et sans travail. Si dans un premier temps, il se débrouille seul il va ensuite rejoindre Placard (Jean-Pierre Marielle) et ses potes d’enfance, des marginaux qui se sont organisés. Un jour, Bazil se retrouve face à la cause de ses malheurs ; les marchands d’arme La vigilante de l’armement et Les arsenaux d’Aubervilliers.

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    On le sait désormais, les films de Jean-Pierre Jeunet ont cette incroyable faculté à nous transporter dans un tout autre univers et celui-ci ne déroge pas à la règle. Impossible de rester de marbre devant l’innocence de Bazil ou encore avec la facétieuse troupe de Placard, galerie de personnages vraiment insolites. Le charme aurait été complet si le scénario de Micmacs à tire-larigot ne nous semblait pas aussi paresseux. La bande à Bazil qui font des pieds et des mains pour se faire confronter deux méchants marchands d’arme, on a vu mieux. On ressort donc de la salle avec une pointe de déception même si le voyage était agréable.



    Il faut le voir pour : Rester sur vos gardes lorsque vous ouvrez votre réfrigérateur.

  • Tellement proches

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    Il aura tout tenté mais notre pote Alain (Vincent Elbaz) n’y échappera pas ; il va devoir se coltiner un diner avec sa belle famille. Difficile pour lui de supporter Jean-Pierre (François-Xavier Demaison) et sa famille parfaite mais Nathalie (Isabelle Carré), la femme d’Alain ne lui a pas vraiment laissé le choix. Dès leur arrivée, les premières remarques fusent puisqu’ils n’ont pas pu faire garder leur fils Lucien (Max Clavelly), une véritable tornade ambulante et ce n’est pas ce soir qu’il va se calmer. Et puis il reste encore à attendre Roxanne (Joséphine de Meaux) qui va débarquer avec son nouveau compagnon rencontré il y a à peine quelques heures.

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    Après nous avoir fait passer de belles vacances avec Nos jours heureux, le duo Eric Toledano & Olivier Nakache s’attaque désormais à la famille et une fois encore c’est une comédie savoureuse qui nous est servi. S’appuyant sur la légendaire mésentente avec la belle famille, Tellement proches nous dresse un portrait magnifique où chaque membre enrichit réellement le scénario. De Vincent Elbaz en mari immature à la géniale Audrey Dana prête à se convertir au Judaïsme pour assurer l’avenir de sa fille ; le casting est parfait. Pas étonnant donc de rire et même de verser une petite larme émue devant ce nouveau Coup de cœur Ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : Retenir l’histoire de l’architecte des immeubles de Créteil.